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sur Proches !

La plateforme qui réunit
le monde de la recherche académique

les acteurs de la société sur
les enjeux de biodiversité

À qui s’adresse la plateforme Proches ?

La plateforme Proches s’adresse aux chercheurs et chercheuses, ainsi qu’aux membres des parties prenantes de la FRB ou tout autre acteur de la société qui souhaiterait le devenir. En faisant se rejoindre leurs problématiques, elle a pour vocation de soutenir la recherche sur les enjeux de biodiversité. La FRB mène un travail de médiation pour réaliser la co-construction puis la concrétisation de ces projets de recherches, financés par les parties prenantes et menés par les chercheurs et chercheuses.

Derniers projets déposés

  • Mobilisation des ressources

    Collaboration terminée

    Laminaires de la côte Bretonne : quels indicateurs de vulnérabilité aux changements globaux ?

    Les laminaires Laminaria hyperborea sont exploitées pour leur forte concentration en alginate, utilisé par les industries agroalimentaires, pharmaceutiques, cosmétiques et biotechnologiques. Cette espèce d’algue brune représente aussi un habitat pour de très nombreuses espèces marines. Alors que cette ressource est particulièrement fragilisée dans le contexte du Changement Global, ce sujet de Master 2 permettra de renforcer notre compréhension du fonctionnement de son habitat et d’être force de nouvelles propositions auprès des acteurs socio-économiques (filière goémonière) et gestionnaires (dispositifs réglementaires, ex. Directives Européennes), afin qu’elle puisse continuer d’être exploitée et gérée de manière durable et responsable.

  • Aires protégées

    En Recherche de financement

    La dorsale Sud-Ouest de l’océan Indien : un corridor écologique clé dans un contexte de changement global.

    La haute mer couvre près de la moitié de la surface de la Terre, mais reste un territoire largement inexploré et peu protégé. Elle joue pourtant un rôle vital dans la régulation du climat, la séquestration du carbone et le maintien de la biodiversité marine. Elle est fortement exposée à la pêche illégale, l’exploitation non régulée et le manque de gouvernance. Cette thèse vise à combler un vide scientifique et politique en explorant la biodiversité d’une région méconnue mais potentiellement clé pour la conservation marine, qui pourrait constituer un corridor écologique au sein du Sud-Ouest de l’océan Indien. Elle propose une approche scientifique couplée à une perspective de gouvernance appliquée, autour de 3 axes : -Inventaire de la biodiversité de la surface à -5000m par des prélèvements d’ADN environnemental : une telle analyse à ces profondeurs et échelle est inédite. -Modélisation de la connectivité pour mettre en lumière le rôle écologique de la zone et les enjeux de conservation liés. -Analyse des implications en gouvernance internationale, formulation de recommandations pour éclairer les décideurs politiques (gestion durable). Les résultats seront partagés aux communautés scientifique et locales et au grand public par la rédaction d’articles, des conférences et des rencontres avec les pêcheurs. Soutenir ce projet, c’est investir dans une recherche stratégique à fort impact environnemental et politique, au service d’un océan plus durable et mieux gouverné.

  • Pollutions

    En Recherche de financement

    Étude des déchets anthropiques immergés par petit fond marin: cas de la côte rocheuse des Pyrénées-Orientales

    L’origine principale des déchets anthropiques est continentale, mais la destination finale de ces déchets est l’océan et ce via les réseaux hydrologiques et les fleuves. Une fois en mer, certains vont s’échouer sur les plages (meilleure option car « récupérable facilement »), d’autres vont partir au large (irrécupérables étant donné l’immensité océanique et le coût économique) et enfin une fraction, la plus importante selon les spécialistes, vont finir au fond des océans (irrécupérables, profondeur moyenne des océans: 3.700 m!). De nombreux chercheurs dans le monde cherchent à mieux comprendre ce transfert de la source (continentale) aux différents compartiments océaniques. Les stocks et les flux sur les plages sont les mieux documentés, suivi de l’estimation des déchets flottants en surface (par drone, satellite et modélisation). Par contre, très peu de données existent sur les stocks et les flux de déchets déposés sur les fonds marins. Ces fonds marins sont dans l’obscurité totale et seuls les robots et bathyscaphes peuvent les filmer et les étudier. Seulement, aujourd’hui, seul 1% des fonds océaniques ont pu être filmés par des caméras. Les coûts technologique et logistique (bateau) sont énormes et la problématique de la pollution plastique dans les océans ne peut mobiliser de telles sommes. Par contre, il existe des fonds marins, faciles à explorer: les petits fonds marins (< 10 m).L'étude de ces petits fonds bénéficie de nombreux avantages: ils sont facilement accessibles

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